Saint-Vrain et Marolles-en-Hurepoix : Un outil exemplaire pour l’environnement

Saint-Vrain et Marolles-en-Hurepoix : Un outil exemplaire pour l’environnement

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Xavier Dugoin et la Société des Eaux de l'Essonne sur le site.

La station d’épuration et de traitement de Marolles/Saint-Vrain a fait l’objet d’une visite de la part du Siarce.

Casque vissé sur la tête, Xavier Dugoin, président du Siarce, accompagné du délégataire, de l’ensemble des personnels de la Société des Eaux de l’Essonne, l’ensemble des collaborateurs du Siarce nouveau et de Georges Joubert qui a présidé jusqu’au 31 décembre ce bel outil de l’ex-Syndicat Intercommunal d’assainissement (Sia), ont visité la station d’épuration et de traitement de Marolles/Saint-Vrain.

Des innovations en cours et à l’étude

Après la visite de l’usine d’eau potable des Closeaux à Janville, l’unité de l’ex Siere à Itteville, cette visite s’inscrit dans une logique de continuité des nouveaux équipements qui sont rentrés dans le patrimoine dans ce qui est aujourd’hui le nouveau Siarce.
L’occasion de présenter les particularités techniques et les innovations en cours pour cette station qui a été mise en service en 2007, qui a une capacité équivalent à 22 000 habitants dans 6 communes, un débit journalier de 4 300 m3/jour par temps sec et un débit temps de pluie de 4 800 m3/jour.

Sur le terrain, les élus ont assisté à toutes les étapes du traitement de l’eau : poste de relevage, le prétraitement avec la séparation physique des déchets, sables et graisses, bassin d’aération avec traitement biologique et clarificateur pour séparer les boues de l’eau épurée. En plus du travail fait sur la station, des dispositions ont été prises pour améliorer encore l’efficacité du transport des eaux usées. Et, dans les propositions que la société des eaux de l’Essonne avait faites dans le cadre du contrat, elle a intégré le monitoring des apports d’eaux claires parasites dans les réseaux. 11 capteurs ont été installés sur le réseau de transports pour quantifier objectivement les volumes de ces apports et surtout savoir d’où ça vient. Les secteurs plus en amont pourront être diagnostiqués et ainsi déterminer les travaux à engager.

Retrouvez l’intégralité de cet article dans nos éditions papier et numérique du jeudi 20 avril.