Les coulisses du crime en Essonne : la bavure de la DDASS

Les coulisses du crime en Essonne : la bavure de la DDASS

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L’inspecteur divisionnaire Christian Caron (à gauche) et le sous-brigadier Fernand Seither, les premiers hommes du RAID victimes du devoir. ©DR
  • Depuis plus de 30 ans, la tragédie du forcené de Ris-Orangis hante les esprits des forces essonniennes de police.

Quatre heures d’une tension extrême et deux assauts successifs ont finalement permis de venir à bout d’un forcené qui s’était barricadé dans son appartement de Ris-Orangis transformé en véritable « fort Chabrol ». Une neutralisation qui s’est faite au prix d’une terrible tragédie au cours de laquelle deux policiers du RAID, l’inspecteur divisionnaire Christian Caron et le sous-brigadier Fernand Seither, ont succombé des suites de leurs blessures. Un troisième « superflic » du RAID et un inspecteur de l’unité de police judiciaire et administrative d’Evry ont par ailleurs été gravement blessés.
Ce sont les premiers hommes du RAID à périr en opération de police. Une tragédie qui suscite tout à la fois incompréhension et stupeur chez les responsables de l’opération qu’au sein de la population.

Retrouvez la suite de l’histoire de ce fait divers marquant de l’Essonne dans l’édition de ce jeudi 23 juillet (disponible sur sur cafeyn.co) et au fil d’un feuilleton publié chaque semaine dans votre journal Le Républicain de l’Essonne.

La semaine prochaine, découvrez le dossier de Czeslaw Jean Bojarski surnommé le Rembrandt de la fausse-monnaie…