Depuis près de 40 ans, le mystère des mortes de la RN20 résonne dans l’Essonne.
Une étudiante bretonne massacrée avec une violence rare…
Dimanche 7 août 1983, des promeneurs qui empruntent le Chemin-de-la-voie-Renard en direction de l’Orge à Bruyères-le-Châtel, aperçoivent le corps dénudé d’une femme gisant en bordure d’un champ. Nous sommes à trois kilomètres de la RN20.
Les premières constatations menées par les gendarmes locaux puis l’examen médico-légal établissent que la victime, Pascale Lecam, une étudiante bretonne en gestion de 21 ans, de passage à Paris où elle logeait chez sa sœur avenue Ledru-Rollin, a été étranglée et massacrée à coups de pierre portés à la tête. La victime n’a pas été violée.
Sur place, les enquêteurs saisissent trois mouchoirs en papier dont l’un est visiblement souillé de sperme. Ils procèdent également à un moulage de traces de pneumatiques d’un véhicule de petite cylindrée visibles dans le champ…
Retrouvez la suite de l’histoire de ce fait divers marquant de l’Essonne dans l’édition de ce jeudi 25 juin et au fil d’un feuilleton publié chaque semaine dans votre journal Le Républicain de l’Essonne.
