Le CEA à la rencontre des étudiants du plateau de Saclay

Le CEA à la rencontre des étudiants du plateau de Saclay

0
PARTAGER
Les étudiants ont pu assister à des conférences.

Les étudiants du Plateau de Saclay ont eu l’occasion de découvrir les différents métiers que pouvaient comporter une carrière dans la branche du Commissariat à l’énergie atomique et aux énergies alternatives dédiée aux applications militaires.

Pour l’heure de leur pause déjeuner, les étudiants et futurs ingénieurs de l’école CentraleSupélec, l’ENS et les autres écoles du plateau de Saclay ont eu droit, mardi 23 novembre, a une sorte de forum des métiers un peu particulier. Celui proposé par les équipes du Commissariat à l’énergie atomiques et aux énergies alternatives et plus particulièrement celles de la Direction des applications militaires du CEA (dont le centre francilien est situé à Bruyères-le-Châtel).

Au programme de ce rendez-vous, qui s’est tenu à l’étage du bâtiment Eiffel sur le campus, une présentation de la multitude de métiers envisageable, dans des domaines aussi variés que la détection de tsunamis, la lutte contre le terrorisme ou bien sûr la lutte contre la prolifération nucléaire. Des présentations qui se sont effectuées de manière originale, via l’utilisation de lunettes de réalité virtuelle, ou plus classiquement à travers de petits films en fond sonore, des échanges avec des employés et plusieurs petites conférences.

Cet événement a par ailleurs reçu le label « Fabrique Défense »  du ministère des Armées, label décerné aux événements s’adressant à la jeunesse et visant à faire connaître les enjeux et intérêts relevant de la Défense dans toute l’Europe.

Le TICE à l’honneur

En guise de fil rouge de l’événement, une exposition consacrée au TICE, le Traité d’interdiction complète des essais nucléaires selon lequel les états s’engagent à ne pas effectuer d’explosion expérimentale d’arme nucléaire. Un traité international qui n’est pas encore entré en vigueur puisqu’il n’a pas été ratifié par tous les états bénéficiant d’installations nucléaires, mais que respecte la France grâce à une méthodologie de garantie par la simulation des performances et de la sûreté des armes nucléaires