Football (Coupe de France, 8e tour) : Benhamou, le guide de Viry-Chatillon

Football (Coupe de France, 8e tour) : Benhamou, le guide de Viry-Chatillon

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Mohamed Benhamou (à droite) avec le capitaine Mohamed Diakhaté. ©M.B.

La dernière marche avant les 32es de finale de la coupe de France s’annonce rude pour l’ES Viry-Chatillon, lanterne rouge du groupe B de CFA. Le tirage a placé Belfort sur la route du club présidé par Pascal Mazeau. La formation est 16e et première relégable de National mais n’a perdu qu’un seul de ses sept derniers matchs de championnat.

Pour autant, les Castelvirois peuvent se tourner vers leur gardien, Mohamed Benhamou pour appréhender ce rendez-vous. Formé au Paris-Saint-Germain, l’international algérien possède en effet une carte de visite impressionnante. Le Fennec s’est notamment illustré avec le club de la capitale en remportant les éditions 2004 et 2006 de la Coupe de France, sans toutefois avoir été dans le groupe. Mais c’est lui qui a permis à l’ES Sétif de s’octroyer la Coupe d’Algérie en 2012 contre Belouizdad (2-1 a.p.) en étant élu homme du match. « Forcément, ça reste un grand souvenir devant 100 000 spectateurs et face à Slimani (ndlr : aujourd’hui à Leicester, le champion d’Angleterre en titre) », glisse le portier de 36 ans.

De quoi donner des conseils avisés à ses jeunes coéquipiers. « C’est vrai, j’essaie de les aider, de leur apporter mon expérience surtout pour éviter qu’ils ne s’enflamment en évoquant le Stade de France, je veux qu’ils restent humbles et qu’ils comprennent qu’ils ont une chance formidable de pouvoir vivre de leur passion », développe celui qui a côtoyé Pauleta et Ronaldinho lors des séances d’entraînement au Camp des Loges.

Alors « oui, la coupe est une chance, l’occasion de se montrer et surtout de rendre au club ce qu’il nous apporte, mais le plus important reste le championnat où nous connaissons des difficultés malgré un groupe de qualité », juge ce père de quatre enfants toujours aussi motivé au moment d’enfiler les gants. « J’ai toujours fait….

• La suite de cet article dans le Républicain de l’Essonne disponible en kiosque ou sur notre site internet.