Seconde édition des portes ouvertes virtuelles vers l’apprentissage

Seconde édition des portes ouvertes virtuelles vers l’apprentissage

0
PARTAGER

Après le succès des premières portes ouvertes en ligne du 29 avril, la Faculté des métiers de l’Essonne rempile avec un prochain rendez-vous le 20 mai entre 9h et 17h.

Vous avez jusqu’à lundi soir pour vous inscrire. En raison du contexte sanitaire actuel, la Faculté des métiers de l’Essonne, qui devait ouvrir ses portes au public le samedi 16 mai, a décidé de maintenir le rendez-vous virtuellement. Après un premier essai concluant le 26 avril, l’expérience va donc être renouvelée.

Pour rappel, les volontaires doivent s’inscrire sur ce lien. La journée, qui se déroulera entre 9h et 17h, en fonction du créneau horaire qui vous sera proposé, s’adresse aux collégiens, lycéens, étudiants ainsi que leurs familles. Une fois en ligne avec un membre de l’équipe pédagogique de l’établissement, vous pourrez suivre une présentation de l’apprentissage, du Centre de formation des apprentis et du parcours de formation choisi, procéder à l’inscription administrative et prise de rendez-vous pour les futurs entretiens, sans oublier un temps pour posez vos questions. 

Trouver un patron, l’étape déterminante 

« Sur les 445 inscrits au préalable, 202 personnes se sont connectées », fait savoir la Faculté au sujet du premier rendez-vous virtuel. Impossible pour le moment de connaître le réel taux de réussite de cette première journée : « C’est un processus qui s’inscrit dans le temps. Certes les jeunes s’inscrivent à la formation mais ce qui est déterminant c’est de trouver un employeur ». Un patron qui doit être trouvé dans la limite de trois mois une fois la rentrée scolaire passée. Un délai court qui inquiète au vu de la situation actuelle. 

Le 27 avril, Alain Bao, directeur de la FDME, participait à la rédaction d’une lettre publique, aux côtés de l’Association nationale des apprentis de France et du Mouvement des entreprises de France (MEDEF). Celle-ci a été envoyée à la ministre du Travail, Muriel Pénicaud, afin d’alerter le gouvernement sur la santé financière fragile des petites entreprises et de trouver une solution. Les apprentis ayant des difficultés à se faire embaucher, il serait question « d’obtenir un report de trois à six mois », informe la Faculté.