Courcouronnes : S’envoyer en l’air dans le parc du Rondeau est maintenant...

Courcouronnes : S’envoyer en l’air dans le parc du Rondeau est maintenant autorisé

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Parapentes, deltaplanes et autres cerfs-volants peuvent désormais s'envoler dans le parc. Crédit photo : Ville de Courcouronnes/Marjolaine Roland

Une convention signée entre l’Agglomération, la Ville, une association locale et le comité départemental de vol libre autorise dorénavant le vol libre.

La zone était déjà connue des pratiquants du coin mais, désormais, c’est officiel : le parc du Rondeau, et plus particulièrement ses buttes, peuvent accueillir les membres de l’association Globe Trot’air. Le terrain vallonné du parc en fait l’endroit idéal pour apprendre et s’entraîner au décollage et à la gestuelle de la technique. Le vol libre, qui regroupe notamment le parapente, le boomerang, le deltaplane et le cerf-volant, a fait l’objet d’une convention entre l’agglomération Grand Paris Sud, qui gère le parc, la ville de Courcouronnes, l’association Globe Trot’Air et le comité départemental de vol libre 91, qui représente la fédération au niveau local.

Une licence de la fédération est obligatoire

« L’arrêté qui autorise le vol libre est actif depuis fin mars, explique le service des sports de la mairie. Aucun horaire n’a été imposé car c’est une pratique qui dépend énormément de la météo. Bien sûr, tout entraînement est interdit les jours de gros orage ou de neige, mais, à part cela, c’est autorisé absolument tous les jours du lever au coucher du soleil. » Toujours dans cette même optique de sécurité, une licence de vol libre de la fédération est impérative pour pouvoir pratiquer, ainsi qu’une assurance obligatoire. De fait, les particuliers ne pourront pas se prêter au vol libre dans le parc.

De plus, des panneaux vont être installés afin d’avertir les promeneurs des activités qui s’y déroulent et de fixer les règles pour les pratiquants. « Ces derniers seront payés par le comité départemental du vol libre et installés par l’agglomération bientôt », précise la mairie de Courcouronnes.

Aurélia Brachet