[Portrait en Essonne] « Mon réconfort, c’étaient les animaux » : Jean-Claude Hiram, l’invincible

À bientôt 90 ans, Jean-Claude Hiram est un homme aux mille vies. Enfant abandonné, sportif inoxydable, il livre un dernier combat, celui de la mémoire, à travers les livres autobiographiques.

Quand on lui demande pourquoi il écrit, il répond simplement : « pour raconter ce que j’ai vécu et aider mes frères et sœurs de destin ». Jean-Claude Hiram, le nonagénaire de Ballancourt-sur-Essonne n’a eu une vie ni facile, ni monotone. Il en dévoile une partie dans ses ouvrages. C’est en 1936, plus précisément le 10 août, que commence son histoire. Il naît à Paris et est retrouvé dans la rue. « J’ai été placé dans le Morvan, et élevé par une famille à coup de pied au cul », décrit-il sans détour. A 13 ans, il travaille 12 heures par jour à la ferme, l’hiver et 15 heures l’été. « C’était absolument terrible, mon réconfort, c’étaient les animaux ».


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