Essonne : La France, les enfants de Prunay-sur-Essonne la connaissent bien

Essonne : La France, les enfants de Prunay-sur-Essonne la connaissent bien

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L'Union nationale des Combattants et le Souvenir français étaient présents avec des porte-drapeaux pour la cérémonie.

Le 14 février, l’école élémentaire a inauguré la plaque de la Marseillaise et reçu un drapeau français de l’Union nationale des Combattants.

Un après-midi fort en émotions pour les élèves de l’école prunaysienne. Tous ont colorié un drapeau français et l’ont agité durant l’inauguration de la plaque de la Marseillaise. En grande section, en CP ou bien en classe de CE1, ils sont déjà sensibilisés aux valeurs républicaines.

Tous ont colorié un drapeau français pour l’événement.

Jean-Michel Queva, ancien militaire bénévole à l’Union nationale des Combattants est intervenu à l’école pour parler des points forts de la France auprès de ce jeune public. « C’est important de leur apprendre la citoyenneté, de faire perdurer le devoir de mémoire et de leur transmettre un bon message autour du vivre-ensemble », souligne-t-il.

La plaque avec l’intégralité des paroles de la Marseillaise est installée sous le préau entre les deux classes.

L’hymne national, les couleurs bleu/blanc/rouge, les dates de commémorations… Toutes ces notions n’ont plus de secrets pour les élèves de Mesdames Disson et Blangeot.

Les enfants ont chanté aux côtés des porte-drapeaux locaux.

La pluie n’aura pas découragé les enfants, les familles, les associations et les élus présents. Le lundi 14 février à 16h, les élèves ont chanté le premier couplet de la Marseillaise.

Les élèves de grande section, CP et CE1 ont chanté le premier couplet de la Marseillaise devant leur famille et les élus.

Tour à tour, certains ont pris le micro pour définir, avec leurs mots d’enfant, la devise nationale « Liberté, égalité, fraternité » : « Etre libre, ça veut dire qu’on peut faire tout ce qu’on veut, mais qu’il y a des règles », « On n’a pas le droit de jeter par terre », « Il ne faut pas taper ou faire du mal » ; « L’égalité, c’est (…)

Retrouvez l’intégralité de l’article dans nos éditions papier et numérique du jeudi 17 février ou sur cafeyn.co.