[Dossier] La santé mentale est une grande cause nationale de l’année 2025. En Essonne, cette cause sera portée par l’EPS Barthélémy-Durand qui vient de lancer son projet «BD 2030» pour une meilleure prise en charge des patients.
A lire dans ce dossier :
- Préparer aujourd’hui la réponse aux enjeux de santé mentale de demain
- Des années de travail en amont
- Une mutation qui s’opère en continu
Préparer aujourd’hui la réponse aux enjeux de santé mentale de demain
La santé mentale est devenue un enjeu prioritaire de santé publique au niveau national depuis une quinzaine d’années, une priorité affirmée depuis 2021 et les Assises de la santé mentale et de la psychiatrie. En Ile-de-France, la situation est préoccupante.
Ce n’est donc pas un hasard si l’Agence régionale de santé d’Ile-de-France (ARS IDF) a fait de la santé mentale une priorité de son projet régional de santé 2023-2028. « La situation se dégrade, avec une augmentation de 60 % des épisodes dépressifs caractérisés (EDC) depuis 2017, soit deux fois plus vite qu’à l’échelle nationale (+30 %). Ces épisodes touchent surtout les jeunes, les personnes seules et les plus de 55 ans. Chez les adolescents et les jeunes adultes, le constat est particulièrement préoccupant : 17,8 % souffrent d’insomnie, 40 % sont en restriction chronique de sommeil. Cette fragilité mentale chez les jeunes Franciliens, aggravée par les habitudes de vie liées au sommeil, connaît une progression inquiétante ces dernières années », insiste l’Agence régionale de santé.


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