La fédération nationale des Maisons d’accueil et de résidence pour l’autonomie (Marpa) renouvelle son concours artistique Marpa Vision. Cette année, les établissements volontaires ont proposé des portraits de femmes, résidentes et membres du personnel, prêtes à partager un fragment de leur histoire.
Un seul clic par jour suffit à faire gagner les deux résidences labellisées par le réseau Marpa. Parmi les 34 photographies en lice, deux ont été prises en Essonne.

La Marpa Les Grillons à Vert-le-Grand présente leur doyenne Colette Soubeyrand, âgée de 104 ans. Sur l’image, elle sourit fièrement près d’une carte de France où est dessiné le road-trip qu’elle a réalisé avec sa petite-nièce, Catherine Coustou, en avril 2025. Ensemble, elles ont fait un périple de 2000km en France au fil des villes de l’enfance de la centenaire. Elle tient dans ses mains une valise sur laquelle sont collés un article de presse, une photographie de son village natal, Livron-sur-Drôme et une carte postale de la Drôme. De son côté, la Marpa Les Jardins de Saint-Laurent de Milly-la-Forêt présente Micheline entourée de poèmes écrits par des résidents et d’objets représentant la sécurité et le confort de l’établissement.

L’année dernière, les deux Marpa essonniens sont ressortis lauréats de la première édition du Marpa Vision avec leur reprise de la chanson « Laissons entrer le soleil » de Julien Clerc. Les gains remportés ont permis de financer deux spectacles à destination des résidents vertois et milliacois : un repas dansant sur des airs latinos et une animation musicale intitulée « Roue de la chanson ».

Cette fois-ci, les deux participent chacune de leur côté mais il y a trois prix à gagner : 1300 euros pour la première place, 1000 euros pour la deuxième et 700 euros pour la dernière place du podium. Les votes sont ouvertes depuis le 3 novembre et restent possibles jusqu’au 28 novembre. Chaque internaute est invité à voter chaque jour. Il suffit de se connecter sur le site pollunit.com et d’appuyer sur le « pouce » sous la photo.
Pour voter, c’est par ici.
