[DOSSIER] Si la ligne 18 du Grand Paris Express va bientôt desservir l’Essonne, et améliorer grandement les déplacements, la situation n’est pas toujours aussi rose, avec des craintes fortes de déclassement pour les usagers se trouvant les plus aux franges de la région et notamment ceux qui utilisent les branches Sud de la ligne C du RER.
A lire dans ce dossier :
- Le Sud-Essonne attend des progrès
- Des craintes sur l’offre du RER C après une année 2024 catastrophique
- La ligne 18 entre dans sa phase d’essais
- Pourquoi la prolongation est indispensable
Le Sud-Essonne attend des progrès
Selon l’Enquête globale transport (EGT) d’Île-de-France mobilités, et les travaux de l’Insee, le seuil d’acceptabilité d’un trajet domicile-travail en transports en commun est souvent considéré autour de 45-60 minutes. Au-delà, la voiture reste la solution privilégiée pour se déplacer.
Ce seuil de durée de transport coupe l’Essonne en deux, avec d’un côté le nord urbanisé disposant d’un réseau plus dense et permettant d’accéder plus vite aux zones d’emploi, et un sud avec un réseau plus diffus, où une grande partie de la population doit déjà se rendre en voiture pour rejoindre une gare.
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