Le Sud-Ouest de l’Essonne s’engage pour l’écologie

Le Sud-Ouest de l’Essonne s’engage pour l’écologie

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De gauche à droite : Rémi Boyer, président de la CCDH, Eric Jalon, préfet de l'Essonne, Jean-Marc Foucher, président de la CCEJR et Johann Mittelhausser, président de la CAESE.

Le préfet de l’Essonne a signé le jeudi 12 août le protocole d’engagement du contrat de relance et de transition écologique avec trois intercommunalités dans le sud du département.

Une démarche responsable et ambitieuse avec du concret. Le jeudi 12 août, les présidents des trois collectivités au sud-ouest de l’Essonne se sont réunies aux côtés du préfet de l’Essonne Eric Jalon à la sous-préfecture d’Etampes. Les quatre hommes ont signé le protocole d’engagement du contrat de France Relance et de transition écologique du sud-Essonne.

Ce document permet de coordonner l’ensemble des politiques signées entre l’Etat et trois intercommunalités concernées par le programme Petites villes de demain ou encore Action Cœur de ville : la Communauté d’Agglomérations Etampois Sud-Essonne (CAESE), la Communauté de Communes Entre Juine et Renarde (CCEJR) et la Communauté de Communes du Dourdannais-en-Hurepoix (CCDH).

Des élus du Sud-Essonne engagés pour demain

« Nous souhaitons décliner ce protocole à travers plusieurs actions concrètes, insiste le préfet de l’Essonne Eric Jalon. Notre volonté est de s’inscrire dans un temps long et réaliste, celui du mandat municipal. »

Johann Mittelhausser, président de la CAESE confirme : « Les habitants sont en attente d’un déploiement d’actions concrètes sur des enjeux majeurs et nous sommes au rendez-vous ». Dans le protocole, l’Etat et les trois collectivités s’engagent à agir pour développer l’économie durable avec l’objectif zéro artificialisation nette et la maîtrise du foncier dans les zones d’activités.

« A trois, on peut interpeller l’Etat de manière plus forte, il y a beaucoup de choses à faire et nous n’avons jamais eu l’intention d’être en concurrence, le but n’est pas de piquer une entreprise dans une autre EPCI, mais de développer et de travailler ensemble pour que le plus grand territoire, nos trois EPCI réunis gagne », appuie Rémi Boyer, président de la CCDH.

« Nous sommes sur un territoire où (…)

Retrouvez l’intégralité de l’article dans nos éditions papier et numérique du jeudi 19 août ou sur cafeyn.co.