Deux passionnés de Claude François rendent hommage à la star disparue tragiquement il y a 40 ans.
Sébastien habite en France, Vincent en Belgique et sont devenus amis ainsi que leurs familles. Ils préparent la sortie de plusieurs albums inédits de mars à novembre. Interview croisée des deux amis sur Claude François.
Le Républicain : Comment votre passion pour Claude François a-t-elle vu le jour ?
Sébastien : J’ai toujours aimé Claude François, mais cette passion s’est déclarée en 1998. Je venais d’avoir mon permis, je pouvais me rendre à Dannemois. Et j’ai eu la chance cette année-là, de rencontrer Madame Lescure, l’actuelle propriétaire, avec son mari et son fils, qui ont ouvert le Moulin aux passionnés le 15 mars 1998. J’ai filmé et pris des photos, Madame Lescure m’y avait autorisé et le feeling est bien passé dès le départ. Cela a été un vrai coup de foudre. La passion a grandi et j’ai commencé à collectionner…
Vincent : Il y a 15 ans déjà. C’était en 2003 et j’avais 14 ans. On commémorait les 25 ans de la disparition de Claude François et TF1 avait programmé une émission spéciale. Suite à cette émission, je suis allé chercher le Best-Of sorti pour l’occasion et un des innombrables livres parus. Je l’ai lu et c’est d’ailleurs le seul livre que j’ai lu entièrement. Ensuite j’ai commencé à acheter des vinyles en brocantes suite à un après-midi chez un collectionneur. J’ai été fasciné. Et tout a démarré.
Retrouvez l’intégralité de cet article et les infos pratiques dans nos éditions papier et numérique du jeudi 8 mars.
et les légendaires flacons de parfum créés par le chanteur
en 1976 dans sa demeure du Moulin de Dannemois.
